ACTUELLEMENT
Maquette de la prochaine création « Tumeur ou tutu » (coproduction CDN Dijon Bourgogne)
Jeudi 10 juillet 2025 à 10h à Présence Pasteur – Festival d’Avignon 2025
EN TOURNÉE
CROIRE AUX FAUVES
D’après Croire aux fauves de Nastassja Martin
© Editions Gallimard
On est allé jouer « croire aux fauves » au lycée Raoul Follereau à Nevers. On a reçu un très bel accueil et certains élèves avaient invité Émilie Faucheux pour une interview dans leur studio de radio situé au sein même du lycée. BAC FM est une radio associative et pédagogique, un super projet et là une des plus belles interviews qui retrace avec beaucoup de sensibilité le travail de la compagnie. Merci à Elyssia, Léanne, Matthys et Morgan pour ce joyeux moment.
Souvenir de la rencontre entre Émilie Faucheux et l’autrice Emmanuelle Bayamack-Tam à Cluny le 10 Avril dernier, pour le festival des écritures contemporaines où nous étions invités à jouer Croire aux fauves au Théâtre Les arts, une très belle représentation devant une salle comble et chaleureuse.
PROCHAINES DATES
29 Août 2025 – Festival Atout bout d’champ, Mâlain (21)
Juin 2026 – Tournée dans les jardins des bibliothèques des Bouche du Rhône (13) :
・05/06/2026 à 19h, à la Médiathèque de Mouriès
・06/06/2026 à 19h, à la Médiathèque de Saint-Chamas
・09/06/2026 à 19h, à la Médiathèque de Jouques
・10/06/2026 à 17h, à la Médiathèque d’Eyguières
・11/06/2026 à 18h30, à la Médiathèque de Mollégès
・12/06/2026 à 18h30, à la Médiathèque de Saint-Andiol
・16/06/2026 à 18h30, à la Médiathèque de Saint-Etienne-du-Grès
・17/06/2026 à 18h, à la Médiathèque de Rousset
・20/06/2026 à 20h30, à la Médiathèque de Barbentane
ARTICLES DE PRESSE
CRÉATION 2026
TUMEUR OU TUTU
D’après tumeur ou tutu de Léna Ghar
© Editions Gallimard
en coproduction avec le CDN Dijon Bourgogne
DIFFUSION saison 26/27 (en cours)
30 avril 2026 – Théâtre du Rempart, Semur en Auxois (21)
Mai 2026 – Festival Théâtre en mai, CDN de Dijon (21)
Novembre 2026 :
– Centre Culturel Aragon, scène Conventionnée, Oyonnax (01)
– L’Étoile du Nord, scène Conventionnée, Paris (75)
– Théâtre Antoine Vitez, Aix-en-Provence (13)
Février 2027 – Théâtre de Beaune (21)
Dates à préciser :
– La Fraternelle, St Claude (39)
– Saison Culturelle de Digoin (71)
– La Cité du Mot, La-Charité-sur-Loire (58)
RÉSEAUX
27 janvier 2025 – Prémices d’Affluences, Le Grrranit, Belfort (90)
16 et 17 octobre 2025 – Festival Fragments*, Grand Parquet / Théâtre Paris – Villette (Parrainé par l’Étoile du Nord / Scène Conventionnée)
*Fragments est un festival créé et coordonné
par La Loge où les compagnies sont invitées
à présenter une maquette de 30 min.
RÉSIDENCES
Septembre 2024 – Théâtre des Prairies, Ville de Quétigny (21)
Février 2025 – Centre Culturel Aragon, Scène Conventionnée d’Oyonnax (01)
Mai 2025 – Chez Robert, Centre Culturel, Pordic (22)
Septembre 2025 – Le Théâtre – Scène Conventionnée d’Auxerre (89)
Février 2026 – Parvis St Jean, CDN Dijon Bourgogne, Dijon (21)
Avril 2026 – Théâtre des Remparts, Semur-en-Auxois (21)
ARTICLES DE PRESSE
DU LIVRE
C’est l’une des révélations de cette rentrée littéraire : Léna Ghar publie Tumeur ou tutu, un premier roman singulier sur la question du langage. »
France Inter, Nouvelles Têtes,
Mathilde Serrell
« Un premier roman percutant qui réfléchit à la manière dont les traumas infusent le langage. Une des meilleures découvertes de la rentrée. »
Les Inrockuptibles, Pauline Le Gall
« C’est précisément par la littérature, c’est-à-dire la subversion du langage et des formes existantes, une subversion qui passe par les néologismes, le brouillage des points d’énonciation et finalement le décalage introduit par les formules mathématiques, que peut advenir la singularité d’une parole. C’est au surgissement toujours en devenir de cette singularité que Léna Ghar nous convie dans ce magistral premier roman. »
En attendant Nadeau,
Valentin Hiegel
« Haletante, philosophique et politique, l’épopée intérieure qui amène Léna Ghar -puisqu’on la suppose derrière cette autofiction- à une résolution par l’écriture, raconte aussi le pouvoir émancipateur de la littérature. »
Club Médiapart
« L’une des primo-romancières les plus remarquées de cette rentrée littéraire, Léna Ghar a écrit un récit virtuose. »
Ouest France
« Le monologue d’une narratrice qui transfigure dans une langue inventée les souffrances qu’elle subit puis inflige. Un tour de force formel qui ne masque pas l’essentiel : raconter le parcours des enfants maltraités et la reproduction de la violence dans les familles. »
L’Humanité, Sophie Joubert
« Léna Ghar : monologue intérieur, de l’enfance à l’âge adulte »
RFI, Pascal Paradou